Marsactu.fr vous l’a déjà raconté, les créatifs qui avaient travaillé pendant plusieurs semaines sur l’appel d’offre pour la création du logo et de l’identité v
isuelle de Marseille 2013 avaient très, très mal pris son annulation. Lors d’un conseil d’administration, en Avril dernier, Bernard Latarget, le patron de 2013
avait purement et simplement déclaré l’appel d’offre « infructueux », sans aucune autre forme de procès. Et cet oukaze latargetien fait beaucoup parler de lui a
u sein de la communauté des directeurs artistiques et des designers. Et pas en bien. Depuis quelques heures circule sur Facebook une affiche réalisée par le cré
atif marseillais Stephan Muntaner, au nom de cette communauté artistique. Cette très bonne affiche est en train de faire un beau buzz sur le réseau social, pas
mal d’artistes ayant décidé de la mettre en illustration sur leur profil Facebook. Bernard Latarget et son staff de communicants devraient donc faire très att
ention à cette petite fronde. Ce n’est sans doute pas le moment d’ouvrir un nouveau front. Latarget est déjà pris dans un joli bourbier politique. Alors qu’il y
a encore quelques mois, il était l’homme providentiel à Marseille, ces derniers temps sa cote a vertigineusement chuté chez les politiques locaux. La situation
actuelle de 2013 est effectivement compliquée, il va donc bien falloir trouver comme d’habitude un bouc émissaire. Trop indépendant, trop « haut fonctionnaire
parisien », trop arrogant, trop bien payé, il n’habite même pas à Marseille … Latarget a le droit à la totale en ce moment. Tout le monde tire, et de partout. C
omme l’avocat Michel Pezet qui est désormais le porte-flingue de Jean-Noêl Guérini, Président du Conseil Général des Bouches-du-Rhône, et donc gros financeur p
otentiel de 2013, et qui passe son temps à dire tout le bien qu’il pense de Latarget dès qu’il croise un journaliste. Et il en croise pas mal ces jours-ci. Du c
ôté de la Mairie, on n’est évidemment pas en reste. Mais ce n’est pas nouveau. Ils détestent le patron de 2013 depuis les premiers jours. C’est un bon, il est d
e gauche et c’est un homme libre. Tout pour plaire à l’Hôtel de Ville. Le fameux « cabinet noir » de Jean-Claude Gaudin, animé par son » terrible » Directeur de
Cabinet Claude Bertrand, l’homme qui fait trembler tout Marseille, continue donc ses réguliers tirs de mortiers. Patrick Mennucci, nouveau Vice Président à la
culture à la Région Paca, autre gros banquier de l’événement, n’est pas encore entré dans le jeu, mais forcément quand il va arriver, ce ne sera pas pour beurr
er les sandwitchs. Quant à Muselier, il a bien compris que dans ce dossier il n’y avait que des coups à prendre, il préfére donc aujourd’hui sa guerre avec les
Guérini, sans doute plus rentable politiquement, s’ il la gagne. Latarget, ce n’est pas « un perdreau de l’année », comme dit Gaudin. Il a bossé pour Mitterrran
d ( le vrai, pas le neveu), et Jack Lang, il connait bien les politiques et leurs coups tordus. Pour l’instant il passe à travers les rafales. Mais à Marseille,
on n’est jamais à l’abri d’une balle perdue. Ce pauvre Latarget constate également chaque jour, que les grands travaux comme le Mucem , prennent du retard. Le
CIQ du coin ( Comité d’intérêt de Quartier), bien connu pour ses combats d’arrière- garde, fait tout ce qu’il peut pour les retarder, déposant recours sur recou
rs. Et ce matin, en lisant La Provence, Latarget va encore tomber de sa chaise. Selon le quotidien, on aurait retrouvé des ossements humains sous le chantier d
u Mucem. Info ou intox ? On verra, mais ce n’est pas ça qui va encore accélérer le chantier. Et toujours dans les bonnes nouvelles, le robinet à financement cou
le aujourd’hui au compte-goutte. Déjà que Fillon n’a jamais été très chaud pour financer 2013 à Marseille, avec la mise en place de l’inévitable plan de rigueu
r, lié à la nouvelle crise grecque, il est de moins en moins sûr que les chèques de l’Etat pourtant promis arrivent un jour. Gaudin de toute façon semble aujou
rd’hui plus passionné par ses grands travaux au Stade Vélodrôme que par ceux de 2013. Avec l’OM revenu au firmament, c’est sûrement plus populaire. Et puis la c
ulture, c’est jamais bon pour un Maire UMP. Ca attire les « bobos » qui finissent par élire un Maire de gauche, comme à Paris et à Toulouse. Gaudin préfère déso
rmais inaugurer les Starbucks Café Rue de La République. C’est plus « on the move » Quant au sponsoring, les grandes entreprises locales capables de mettre plus
ieurs millions d’euros sur la table de Latarget pour financer 2013, sont en proie à de grandes difficultés économiques. Même si les dernières nouvelles sont plu
tôt bonnes, la CMA CGM se bat toujours pour diminuer sa dette et conserver son indépendance. Et puis quand cet automne, ils n’ étaient pas loin du naufrage, au
plein coeur de la tempête, le téléphone des Saadé n’a pas beaucoup sonné. On n’a pas le souvenir d’avoir vu passer dans la presse beaucoup de messages de soutie
n de la part de Gaudin. Délicat dans ces conditions, d’aller aujourd’hui leur « taper » quelques millions d’euros pour 2013. L’autre très grande entreprise ins
tallée localement, Eurocopter, vient d’annoncer il y a quelques jours une réduction d’effectifs. La Poste est le seul sponsor aujourd’hui déclaré. Il y aurait
aussi la SMC ( Société Marseillaise de Crédit) mais aucune annonce officielle n’a encore eu lieu. Pour le reste, calme plat. Face à ces nombreuses difficultés,
Bernard Latarget se doit de naviguer à vue, et commence à compter ses rares soutiens. Jacques Pfister le Président de la Chambre de Commerce et d’Industrie Mars
eille Provence est de ceux-là. Il s’est beaucoup démené pour que Marseille gagne 2013 et ne veut rien lâcher. Il est persuadé que la culture peut être un formid
able accélérateur pour la ville. Comme Metz tout récemment avec le centre Pompidou, ou Bilbao il y a quelques années avec le Gugenheim, les équipements culturel
s ont transformé ces villes. C’est pourquoi il souhaite que 2013 réussisse. Encore faut-il que Latarget et son staff ne finissent pas par se mettre toute la vil
le à dos, surtout pour des histoires de logo.Marsactu.fr vous l’a déjà raconté, les créatifs qui avaient travaillé pendant plusieurs semaines sur l’appel d’offr
e pour la création du logo et de l’identité visuelle de Marseille 2013 avaient très, très mal pris son annulation. Lors d’un conseil d’administration, en Avril
dernier, Bernard Latarget, le patron de 2013 avait purement et simplement déclaré l’appel d’offre « infructueux », sans aucune autre forme de procès. Et cet ouk
aze latargetien fait beaucoup parler de lui au sein de la communauté des directeurs artistiques et des designers. Et pas en bien. Depuis quelques heures circule
sur Facebook une affiche réalisée par le créatif marseillais Stephan Muntaner, au nom de cette communauté artistique. Cette très bonne affiche est en train de
faire un beau buzz sur le réseau social, pas mal d’artistes ayant décidé de la mettre en illustration sur leur profil Facebook. Bernard Latarget et son staff d
e communicants devraient donc faire très attention à cette petite fronde. Ce n’est sans doute pas le moment d’ouvrir un nouveau front. Latarget est déjà pris d
ans un joli bourbier politique. Alors qu’il y a encore quelques mois, il était l’homme providentiel à Marseille, ces derniers temps sa cote a vertigineusement c
huté chez les politiques locaux. La situation actuelle de 2013 est effectivement compliquée, il va donc bien falloir trouver comme d’habitude un bouc émissaire.
Trop indépendant, trop « haut fonctionnaire parisien », trop arrogant, trop bien payé, il n’habite même pas à Marseille … Latarget a le droit à la totale en ce
moment. Tout le monde tire, et de partout. Comme l’avocat Michel Pezet qui est désormais le porte-flingue de Jean-Noêl Guérini, Président du Conseil Général d
es Bouches-du-Rhône, et donc gros financeur potentiel de 2013, et qui passe son temps à dire tout le bien qu’il pense de Latarget dès qu’il croise un journalist
e. Et il en croise pas mal ces jours-ci. Du côté de la Mairie, on n’est évidemment pas en reste. Mais ce n’est pas nouveau. Ils détestent le patron de 2013 depu
is les premiers jours. C’est un bon, il est de gauche et c’est un homme libre. Tout pour plaire à l’Hôtel de Ville. Le fameux « cabinet noir » de Jean-Claude Ga
udin, animé par son » terrible » Directeur de Cabinet Claude Bertrand, l’homme qui fait trembler tout Marseille, continue donc ses réguliers tirs de mortiers.
Patrick Mennucci, nouveau Vice Président à la culture à la Région Paca, autre gros banquier de l’événement, n’est pas encore entré dans le jeu, mais forcément q
uand il va arriver, ce ne sera pas pour beurrer les sandwitchs. Quant à Muselier, il a bien compris que dans ce dossier il n’y avait que des coups à prendre, il
préfére donc aujourd’hui sa guerre avec les Guérini, sans doute plus rentable politiquement, s’ il la gagne. Latarget, ce n’est pas « un perdreau de l’année »,
comme dit Gaudin. Il a bossé pour Mitterrrand ( le vrai, pas le neveu), et Jack Lang, il connait bien les politiques et leurs coups tordus. Pour l’instant il p
asse à travers les rafales. Mais à Marseille, on n’est jamais à l’abri d’une balle perdue. Ce pauvre Latarget constate également chaque jour, que les grands tra
vaux comme le Mucem , prennent du retard. Le CIQ du coin ( Comité d’intérêt de Quartier), bien connu pour ses combats d’arrière- garde, fait tout ce qu’il peut
pour les retarder, déposant recours sur recours. Et ce matin, en lisant La Provence, Latarget va encore tomber de sa chaise. Selon le quotidien, on aurait retr
ouvé des ossements humains sous le chantier du Mucem. Info ou intox ? On verra, mais ce n’est pas ça qui va encore accélérer le chantier. Et toujours dans les b
onnes nouvelles, le robinet à financement coule aujourd’hui au compte-goutte. Déjà que Fillon n’a jamais été très chaud pour financer 2013 à Marseille, avec la
mise en place de l’inévitable plan de rigueur, lié à la nouvelle crise grecque, il est de moins en moins sûr que les chèques de l’Etat pourtant promis arrivent
un jour. Gaudin de toute façon semble aujourd’hui plus passionné par ses grands travaux au Stade Vélodrôme que par ceux de 2013. Avec l’OM revenu au firmament
, c’est sûrement plus populaire. Et puis la culture, c’est jamais bon pour un Maire UMP. Ca attire les « bobos » qui finissent par élire un Maire de gauche, com
me à Paris et à Toulouse. Gaudin préfère désormais inaugurer les Starbucks Café Rue de La République. C’est plus « on the move » Quant au sponsoring, les grande
s entreprises locales capables de mettre plusieurs millions d’euros sur la table de Latarget pour financer 2013, sont en proie à de grandes difficultés économiq
ues. Même si les dernières nouvelles sont plutôt bonnes, la CMA CGM se bat toujours pour diminuer sa dette et conserver son indépendance. Et puis quand cet auto
mne, ils n’ étaient pas loin du naufrage, au plein coeur de la tempête, le téléphone des Saadé n’a pas beaucoup sonné. On n’a pas le souvenir d’avoir vu passer
dans la presse beaucoup de messages de soutien de la part de Gaudin. Délicat dans ces conditions, d’aller aujourd’hui leur « taper » quelques millions d’euros p
our 2013. L’autre très grande entreprise installée localement, Eurocopter, vient d’annoncer il y a quelques jours une réduction d’effectifs. La Poste est le s
eul sponsor aujourd’hui déclaré. Il y aurait aussi la SMC ( Société Marseillaise de Crédit) mais aucune annonce officielle n’a encore eu lieu. Pour le reste, ca
lme plat. Face à ces nombreuses difficultés, Bernard Latarget se doit de naviguer à vue, et commence à compter ses rares soutiens. Jacques Pfister le Président
de la Chambre de Commerce et d’Industrie Marseille Provence est de ceux-là. Il s’est beaucoup démené pour que Marseille gagne 2013 et ne veut rien lâcher. Il es
t persuadé que la culture peut être un formidable accélérateur pour la ville. Comme Metz tout récemment avec le centre Pompidou, ou Bilbao il y a quelques année
s avec le Gugenheim, les équipements culturels ont transformé ces villes. C’est pourquoi il souhaite que 2013 réussisse. Encore faut-il que Latarget et son staf
f ne finissent pas par se mettre toute la ville à dos, surtout pour des histoires de logo.Marsactu.fr vous l’a déjà raconté, les créatifs qui avaient travaillé
pendant plusieurs semaines sur l’appel d’offre pour la création du logo et de l’identité visuelle de Marseille 2013 avaient très, très mal pris son annulation.
Lors d’un conseil d’administration, en Avril dernier, Bernard Latarget, le patron de 2013 avait purement et simplement déclaré l’appel d’offre « infructueux »,
sans aucune autre forme de procès. Et cet oukaze latargetien fait beaucoup parler de lui au sein de la communauté des directeurs artistiques et des designers. E
t pas en bien. Depuis quelques heures circule sur Facebook une affiche réalisée par le créatif marseillais Stephan Muntaner, au nom de cette communauté artistiq
ue. Cette très bonne affiche est en train de faire un beau buzz sur le réseau social, pas mal d’artistes ayant décidé de la mettre en illustration sur leur pro
fil Facebook. Bernard Latarget et son staff de communicants devraient donc faire très attention à cette petite fronde. Ce n’est sans doute pas le moment d’ouvr
ir un nouveau front. Latarget est déjà pris dans un joli bourbier politique. Alors qu’il y a encore quelques mois, il était l’homme providentiel à Marseille, ce
s derniers temps sa cote a vertigineusement chuté chez les politiques locaux. La situation actuelle de 2013 est effectivement compliquée, il va donc bien falloi
r trouver comme d’habitude un bouc émissaire. Trop indépendant, trop « haut fonctionnaire parisien », trop arrogant, trop bien payé, il n’habite même pas à Mars
eille … Latarget a le droit à la totale en ce moment. Tout le monde tire, et de partout. Comme l’avocat Michel Pezet qui est désormais le porte-flingue de Jean
-Noêl Guérini, Président du Conseil Général des Bouches-du-Rhône, et donc gros financeur potentiel de 2013, et qui passe son temps à dire tout le bien qu’il pen
se de Latarget dès qu’il croise un journaliste. Et il en croise pas mal ces jours-ci. Du côté de la Mairie, on n’est évidemment pas en reste. Mais ce n’est pas
nouveau. Ils détestent le patron de 2013 depuis les premiers jours. C’est un bon, il est de gauche et c’est un homme libre. Tout pour plaire à l’Hôtel de Ville.
Le fameux « cabinet noir » de Jean-Claude Gaudin, animé par son » terrible » Directeur de Cabinet Claude Bertrand, l’homme qui fait trembler tout Marseille, co
ntinue donc ses réguliers tirs de mortiers. Patrick Mennucci, nouveau Vice Président à la culture à la Région Paca, autre gros banquier de l’événement, n’est p
as encore entré dans le jeu, mais forcément quand il va arriver, ce ne sera pas pour beurrer les sandwitchs. Quant à Muselier, il a bien compris que dans ce dos
sier il n’y avait que des coups à prendre, il préfére donc aujourd’hui sa guerre avec les Guérini, sans doute plus rentable politiquement, s’ il la gagne. Latar
get, ce n’est pas « un perdreau de l’année », comme dit Gaudin. Il a bossé pour Mitterrrand ( le vrai, pas le neveu), et Jack Lang, il connait bien les politiqu
es et leurs coups tordus. Pour l’instant il passe à travers les rafales. Mais à Marseille, on n’est jamais à l’abri d’une balle perdue. Ce pauvre Latarget const
ate également chaque jour, que les grands travaux comme le Mucem , prennent du retard. Le CIQ du coin ( Comité d’intérêt de Quartier), bien connu pour ses comba
ts d’arrière- garde, fait tout ce qu’il peut pour les retarder, déposant recours sur recours. Et ce matin, en lisant La Provence, Latarget va encore tomber de
sa chaise. Selon le quotidien, on aurait retrouvé des ossements humains sous le chantier du Mucem. Info ou intox ? On verra, mais ce n’est pas ça qui va encore
accélérer le chantier. Et toujours dans les bonnes nouvelles, le robinet à financement coule aujourd’hui au compte-goutte. Déjà que Fillon n’a jamais été très
chaud pour financer 2013 à Marseille, avec la mise en place de l’inévitable plan de rigueur, lié à la nouvelle crise grecque, il est de moins en moins sûr que l
es chèques de l’Etat pourtant promis arrivent un jour. Gaudin de toute façon semble aujourd’hui plus passionné par ses grands travaux au Stade Vélodrôme que pa
r ceux de 2013. Avec l’OM revenu au firmament, c’est sûrement plus populaire. Et puis la culture, c’est jamais bon pour un Maire UMP. Ca attire les « bobos » qu
i finissent par élire un Maire de gauche, comme à Paris et à Toulouse. Gaudin préfère désormais inaugurer les Starbucks Café Rue de La République. C’est plus «
on the move » Quant au sponsoring, les grandes entreprises locales capables de mettre plusieurs millions d’euros sur la table de Latarget pour financer 2013, so
nt en proie à de grandes difficultés économiques. Même si les dernières nouvelles sont plutôt bonnes, la CMA CGM se bat toujours pour diminuer sa dette et conse
rver son indépendance. Et puis quand cet automne, ils n’ étaient pas loin du naufrage, au plein coeur de la tempête, le téléphone des Saadé n’a pas beaucoup son
né. On n’a pas le souvenir d’avoir vu passer dans la presse beaucoup de messages de soutien de la part de Gaudin. Délicat dans ces conditions, d’aller aujourd’h
ui leur « taper » quelques millions d’euros pour 2013. L’autre très grande entreprise installée localement, Eurocopter, vient d’annoncer il y a quelques jours
une réduction d’effectifs. La Poste est le seul sponsor aujourd’hui déclaré. Il y aurait aussi la SMC ( Société Marseillaise de Crédit) mais aucune annonce off
icielle n’a encore eu lieu. Pour le reste, calme plat. Face à ces nombreuses difficultés, Bernard Latarget se doit de naviguer à vue, et commence à compter ses
rares soutiens. Jacques Pfister le Président de la Chambre de Commerce et d’Industrie Marseille Provence est de ceux-là. Il s’est beaucoup démené pour que Marse
ille gagne 2013 et ne veut rien lâcher. Il est persuadé que la culture peut être un formidable accélérateur pour la ville. Comme Metz tout récemment avec le cen
tre Pompidou, ou Bilbao il y a quelques années avec le Gugenheim, les équipements culturels ont transformé ces villes. C’est pourquoi il souhaite que 2013 réuss
isse. Encore faut-il que Latarget et son staff ne finissent pas par se mettre toute la ville à dos, surtout pour des histoires de logo.Marsactu.fr vous l’a déjà
raconté, les créatifs qui avaient travaillé pendant plusieurs semaines sur l’appel d’offre pour la création du logo et de l’identité visuelle de Marseille 2013
avaient très, très mal pris son annulation. Lors d’un conseil d’administration, en Avril dernier, Bernard Latarget, le patron de 2013 avait purement et simplem
ent déclaré l’appel d’offre « infructueux », sans aucune autre forme de procès. Et cet oukaze latargetien fait beaucoup parler de lui au sein de la communauté d